Publié le 05/12/2010 à 13:46 par histoirepourleloup
Le matin ne se fit pas attendre. Alors que nous peinions à réveiller Dësph, l’incroyable se fit croire sous nos yeux. Les feuilles n’étaient plus de ces royaumes peuplés d’hêtres et de marronniers. La bataille avait fait rage toute la nuit et elles avaient tenues, remplis de l’envie de voir le renouveau immédiatement. Mais le vent était plus fort. Ami moralisateur qui les ramena à la triste réalité des saisons.
Nous n’avions jamais vue foret plus nue qu’en ce matin d’octobre. Seurp et Boby Joe les yeux encore embrumés par le sommeil, marchaient d’un pas lent et incertains. Sélénate ne put s’empêcher de rire en les voyant bras dessus dessous, trébuchant à chaque enjambé.
Le vent s’était tut mais on pouvait encore entendre son dernier râle. Cris incertains venue des profondeurs du ciel. C’est peut être stupide mais j’avais presque l’impression qu’il fredonnait la berceuse que Seurp et Boby Joe avaient joué hier soir. Farce de la nature ou hommage aux seuls témoins de l’éternelle bataille que ces deux monde ce livrait chaque années ?
Dësph encore plus endormie que boby et Seurp, sursauta quand une feuille rougeoyante se glissa sur son cou. Nouveau rire de Sélénate accompagné de mes moqueries cette fois ci. Nous arrivâmes enfin près de notre maison, située non loin de la clairière. Il me semblait que je ne l’avais pas vue depuis des siècles. Dësph et boby entrèrent le sourire aux lèvres, suivant sélénate qui s’exclama « Qui veut un chocolat chaud à la menthe !? »
Un oui se fit entendre à l’unisson tendit que Seurp riait aux éclats.
Dernier coup d’œil sur ce qui a était l’été.
Soupire sur cette soirée incroyable, soupire de plaisirs
Jubilation ?
Non mieux encore.
Seurp qui m’attendait encore à la porte posa sa main sur mon épaule.
« -Miraje tu viens ?
Hochement de tête en guise de oui accompagné de quelques larmes discrètes que j’épongeais avec ma manche.
-Seurp ?
-Oui ?
-L’automne est enfin la.
Sourire, encore sourire pouvais t’on les compter à ce stade ?
La porte se fermât doucement... Un au revoir silencieux au vent..
.. Partit loin, loin de ces fous, en pensant, en pensant à nous.
Publié le 05/12/2010 à 13:43 par histoirepourleloup
Connaît-on plus belle choses que l’automne ? Le Passage Bourrasque faisait mine d'escale culturelle à coté.
C’était un de ces jours simples et moelleux où la brise de 15 heures venait caresser nos visages. Nous étions cinq, cinq âmes liées par les liens solides de l’amitié. L’inexorable et omniprésent silence qui régnait dans la forêt nous donnait la nostalgie des jours enfantins ou nous jouions avec le vent. Le vent, justement, m’arracha à mes pensées. Les feuilles des arbres semblaient résister à celui-ci malgré la force qu’il employait pour les décrocher.
Bobby Joe pris son harmonica et commença à jouer.
Intense émotions que nous apportait chaque note.
Pouvais ton communiquer plus de choses avec des sentiments qu’avec des discours ? C’était la question silencieuse que Boby joe posait avec son instrument. La réponse était évidente pour tous. Seurp brisa le silence pour apporter sa réponse.
Il me regardât et se mit à chanter en même temps que la douce mélodie de Bobby Joe repris. Si les mots peuvent être des armes, Seurp lui, transformait les lames en fleures. Nos deux amis était en tête de troupe tendit que Sélénate, Dësph et moi les suivions tout souriant. Le vent se fit plus fort et nous décidâmes de nous réfugier dans des grottes situés non loin du Lac bleu. Nous n’avions pas prévu ce genre se situation mais qu’importe les instant isolé, ils sont toujours bon entre amis.
Seurp et Bobby Joe s’assirent dans le fond de la grotte, il faisait assez froid, aussi Dësph parti en quête d’un peu de bois à faire bruler. Une nouvelle mélopée un peu plus country se mit à résonner. Sélénate et moi nous mirent à danser, ivres de joie et de rires.
Pouvais t’on être plus heureux ? Dësph arriva frigorifié et après avoir qualifié le temps de sale rat, se hâta de faire un feu. Nous firent griller quelque morceaux de viandes que nous avions dans nos sacs et prirent pour dessert, de délicieuses friandises telle que des Tartines de miel et des marshmallow gout violette de la confection de sélénate. Les heures passèrent et voyant que le temps ne changeait toujours pas nous décidâmes de dormir ici. Bobby Joe et Seurp troquèrent leurs country endiablé pour une Lullaby aux notes plus sucrées qu’ils accompagnèrent d’une guitare sèche… Les derniers mots que j’entendis furent ceux de Seurp.
-Douce mélodie que chante mon guide
Je suis un rêve
Douce tragédie que mes paupières emportent
Le monde m’est flou.
Je m’envole loin.
Loin de ces fous
En pensant.
Publié le 05/12/2010 à 13:37 par histoirepourleloup
L'air d'un vieux morceau de jazz résonnait dans le couloir.
Imperceptible, l'homme s'approcha.....
Non pas homme, Femme.
D'un pas lent et discret elle s'introduit dans le bureau ou le vieux maître des Mots dormait.
Affalé dans un vieux fauteuil de velours pourpre.
Le vieille homme visitait qu’elle que une des contrées de l'Imaginaire dans les bras de Morphés
Un tendre sourire illumina le visage de l'Ombre.
Sur le bureau de chêne massif se trouvait une feuille bleue ciel aux reflets nacrées.
Océan de sentiments aux notes audacieuses.
D'un mouvement qui donna une impression d'inexistence aux yeux des murs, elle saisit un Mot.
Un seul
Vent....
Deuxième sourire. ...
Quand le vieille homme se réveilla il ne lui fallut que peu de temps pour comprendre qu'une Ombre était passé.
Fil de pensé pour un rêve discret...
Le Vieux Maître ne songea que peu de temps.
Saisissant une vieille Plume d'Aigle qu'il tenait de son grand Père.
Il inscrit sur la feuille bleue.
Un Mot
Un seul encore.
Comme une réponse à l'Ombre
Brise...
Jusqu'ici je ne t'es Jamais dédié un Poème.
Je me rattrape en espérant que celui ci te plaise.
A mon Ami.
Merci Benjamin
Publié le 05/12/2010 à 13:34 par histoirepourleloup
28 Novembre
La vie est une légère étincelle qui subsiste dans l'Océan.
Loin de moi l'idée de minimiser la Vie.
Non justement, connaissez vous beaucoup de flammes qui tienne sous l'eau ?
De simple mots pour une pensé qui m'intriguais..
Je couche sur mon clavier ces quelques mots pour me rassurer.
Oui je suis en vie.
C'est mots on toute leurs splendeur quand on en s’arrête pas, justement, aux mots.
17 Novembre
Parfois me viens l'étrange envie de pleurer.
Et c'est dans ces moments que je me sens comme le plus grand des misérables.
Car vouloir pleurer et ne pas y arriver,
Et la choses la plus frustrante, la plus méprisable...
Non je ne t'aime pas.
Nous je ne suis pas ce chien.
Non stoppe moi ce jeux.
Crève ?
Au moins une fois dans ma vie fais que les larmes qui ne coulerons pas soit justifiées.
12 Novembre
Je ne sais pas vraiment d'ou me viens cette envie..
Désireux d’écrire sans savoir que dire...
Et alors que mon esprit s’échappait dans ces contrées lointaines aux brises inconnues.
Un sourire Illumina mon visage, telle une promesse.
Finalement l'imagination est belle et bien sans limite...
Dernier regard sur la plume de toutes les folies...
Allons-y !!
1er Novembre
Le vent d'automne se fait attendre.
Je t'en demande peut être un peu trop...
C'est excitant d'attendre Novembre ?
Une larme au coin d'un mot...
Alors si ces mots n'on ni queue ni tête que m'importe puisqu'au fond il ne représente qu'une de mes frénésie, un de mes hobbies, peut être ma vie ?
Une simple envie de passer ma langue sur des lèvres désireuse.
Rien n'est fou pour le roi des con.
Publié le 02/10/2010 à 23:43 par histoirepourleloup
L’automne arrive.
Doux songe que le vent emporte telles ces feuilles rougeoyantes qui tombent des grands arbres. Le vent ne fais qu’un tour tant il est titillé par cet inexorable temps qui passe.
Une dernière feuille tombe. Une dernière feuille que le vent pousse vers d’autres destins.
Une dernière feuille dit-tu ?
Non pas la dernière.
Douce fraicheur que m’apporte cet être et qui m’offre, alors que le vent joue avec mes lèvres, la fraiche délivrance des certitudes.
Dernier souffle…. Bientôt il arrivera.
Une dernière fois, je me demande si cette jolie brune souriante m’aimera.
Soudaient le vent se tut, le temps se figeât, les feuilles restèrent accrochées et le doux baisé que j’espérais, resta en suspend.
L’automne est la.
La délivrance, l’amour, le désire...
Je souris, attendris par ces couleurs ternes.
Je souris, heureux d’embrasser l’automne
A plein bouche
A plein poumon
Heureux d’aimer et d’être vivant
Publié le 26/06/2010 à 12:53 par histoirepourleloup
Hiris avança doucement ver lui et pressa ses lèvre contre les siennes. Sadth ne dit rien, complètement hypnotisé par ce léger gout sucré que sa bouche possédait, telle une délicieuse friandise. L’extrême douceur de ses lèvres humides, son parfums enivrant, lui donnant l’impression d’accéder à un paradis perdus et ses long cheveux roses pareille à de la soie. Les mots fusèrent, d’abord faiblement, puis prenant son courage à deux mains il lui glissât délicatement à l’oreille tout en la prenant par les hanches.
-Je, je veux passer chaque seconde de ma vie avec toi. Je veux pouvoir t’enlacer tout les jours, t’embrasser tout les heures. Je te veux, je suis, hésitât il, je suis amoureux de toi.
Les gestes sont souvent plus important que les mots. Elle lui caressa la joue du bout des doigts, et l’embrassa de nouveau en guise de réponse, heureuse à en pleurer, comme si un magnifique pacte c’était scellé…
Publié le 14/06/2010 à 14:40 par histoirepourleloup

Il y a dans ce monde des choses que même le plus imaginatif des hommes de la Terre ne pourrait imaginer, j’en ai la certitude depuis maintenant sept heures. En cette période de l’année, (à savoir l’été) le soleil se couche aux environs de 25h30, mais pendant l’été se passe un événement très important pour toute la nation que l’on nomme Le renouveau, et pendant cette période est allumé Le phare d’oubli dont la puissance est telle que l’on se croirait en plein jour, de cette façon et pendant trois jours la nuit n’est pas présente. D’après ce que l’on m'a expliqué cela est pour fêter la fin de la bataille entre le grand Elemage, Hodromêlë Aragnock et le roi déchut, Seurp Helioventris. Ce fut un combat effroyable et des millions de personnes moururent, on ma expliqué aussi que ce combat fini par un pseudo match nul, les habitants aux alentours restent tous très flous quant au dénouement de l’histoire, néanmoins en persévérant j’ai pu tirer du nez la fin à une loutroll. Hodromëlle disparut dans des conditions pour le moins inexplicable, ce qui dans ce monde est étrange car tout est inexplicable pour moi, et Seurp s’enfuit et on n’entendit plus parler de lui. Le phare est donc la pour chasser le chagrin des morts, et pendant trois jours toute la capitales en fête, des attractions et des centaines de marchands vont se regrouper la bas, Evos fessant parti du conseille de la ville d’Ermys, la capitale d’Erretsym, va devoir participer à la mis en place de toute cette fête demain, je me suis proposé pour l’aider mais il à refuser, je le rejoindrais donc dans la journée. Mais commençons avant tout par le commencement.
Ce matin, au petit déjeuner, alors qu’Evos et moi mangions des Aislgas couverts d’un nappage de chocolat avec un délicieux thé aux herbes du jardin, un coursier apparu à la fenêtre. Nous lui rendîmes son salut et l’invitâmes à manger avec nous. Il déclinât gentiment notre proposition mais nous promis que dans une semaine il pourrait sûrement. Une fois le journal du jour entre nos mains il partit à toute vitesse pour rattraper le retard qu’il avait pris en s’attardant ici. Alors que je mangeais mes Aislgas avec l’appétit d’une Grooggresse Rougatre, Evos me proposa de commencer mon initiation à l’Elan. Animé par une force quasi divine, j’engloutis les Aislgas avec ardeur, aussi bien quand un temps et deux mouvements mon petit déjeuner avait disparu. Evos qui m’observait depuis maintenant un moment fini par éclater de rire à en tomber de sa chaise. Une fois remis de ses émotions il m’emmena dans la clairière, et avec un grand sourire aux lèvres il me demande de m’assoir. Il se planta devant le ponton de bois puis se retourna dans ma direction. « Maintenant, déclara t’il, je vais te demander de bien m’observer. Concentre ton attention entière sur mes gestes, sur les bruits qui nous entours et surtout sur ma respiration, je vais reproduire un sort pour toi mais au ralentis, de façon à ce que tu puisses comprendre ce qu’il se passe vraiment. J’acquiesçai d’un hochement de tête.
-Bien, commençons. Evos ferma ses yeux et mit c’est deux mains devant lui. Mon regard se porta un moment sur ses mains, je m’attendais à voir quelque chose mais rien ne sortait de celles-ci. Puis je me souvins de ce qu’il avait dit quelques secondes plus tôt, je devais écouter sa respiration. Me forçant à me concentrer j’essayais de séparer tous les autres bruits aux alentours pour ne garder en tête que sa respiration. Son souffle était pareil à une brise au printemps, douce et rafraichissante et le son régulier de l’air qui entrait et sortait de ses poumons avait quelque chose d’hypnotique, un équilibre profond semblait naitre entre la nature et lui. Puis soudain un second souffle apparu, comme si quelqu’un était à l’intérieure de lui, la respiration se modifia doucement jusqu’à être en parfaite synchronisation avec Evos. Ses mains se mirent en mouvement, de gauche à droite, d’en haut en bas elles semblaient danser. Et enfin alors que mon esprit commençait à s’engourdirent, apparu une statuette, haute de six pieds, qui représentait un Cyongalb.
-Et bien je pense que ça sera tout pour aujourd’hui, réfléchis bien à ce que tu as vu et compris. Nous en reparlerons demain avant la deuxième leçon.
-Je suis d’accord néanmoins j’ai une question si tu me permets.
- Oui ?
-Mis à part l’Elan de nature, combien existent-il de types d’Elan ? Un sourire amusé apparu sur le visage d’Evos et il me répondit
- Qui sait des centaines, voir des millions, on nous apprend généralement les plus connues, à savoir les Elan Élémentaires mais ils en existent d’autres plus poussés, il y en a aussi ont étaient oubliés tendit que d’autre n’ont pas était encore crées. Après cela nous rentrâmes chez nous pour manger un incroyable ragout de malazthon avec de délicieuses pommes de terres, accompagnées de sirop de framboise frais et une fois se repas engloutis je partis dans ma chambre pour rédiger ce journal. Demain va être un grand jour aussi je vais maintenant me coucher pour être en forme. Je ne me suis toujours pas habitué aux journées de 38 heure aussi je doute que mes capacités me permettent de tenir pendant une journée de 114 heures. Heureusement que les plats d’Evos sont là !
Publié le 14/06/2010 à 12:13 par histoirepourleloup
Tout les plus grands Sages d’Erretsyme s’accordent à dire qu’il est absolument impossible d’établir un
calendrier commun à toute l’Ondinesombre, pour la simple et bonne raison que nous ne connaissons
même pas la moitié de ses terres, donc de l'emplacement des différents soleils qui sont présent dans son
ciel, mais dans tout les cas sachant que la répartition est inégale on ne peux tout simplement pas même en connaissant tout l'Ondinesombre faire un telle exploit. Aussi la date que j’indique ici, à savoir le 28 juin de l’année 5000, ne se rapporte que et seulement qu’au pays d’Erretsyme. Je suis présent dans ce monde depuis maintenant deux mois et je pense qu’il est temps pour moi d’apprendre à comprendre son fonctionnement.
Il faut avant tout savoir que notre calendrier terrien à était fondé sur le leur mais à la différence de nous, Les habitant d’Erretsyme on un calendrier composé de 15 mois pour une année, trente et un ou trente-deux jours par mois, mais la plus grosse différence se situe sur les
journées, les leurs sont beaucoup plus longue. Le positionnement des différents systèmes solaires au
dessus de leur tête fait qu’un jour est un égal à 38 heures, soit le plus souvent 23 heures de soleil pour
15 heures de nuit. Leurs monde ne bouge pas d’un poile ce qui fais que si il n’y avait qu’un seul système solaire proche d’eux la température atteindrait facilement le Zéro absolue, mais par chance il y a trois systèmes solaire différent proche d’Erretsyme qui se relis des qu’un autre soleil est absent, cela leurs assure des journées ensoleillé pratiquement toute l’année, sauf pendant trois mois, les trois dernier mois de leur année, que nous terrien ne connaissons aucunement.
Actuellement il est 26 heures et je profite du calme qui règne dans ma chambre pour relater cette journée formidable. Le matin je me suis levé à l’aurore pour voir les deux magnifiques soleils, nommé respectivement Abatro et Lumina, se lever. Ce n’était pas la première fois que j’assistais à ce magnifique spectacle mais comme toujours, un sentiment incroyable s’empara de moi en voyant c’est deux astres apparaitre de derrière les millions de lunes et autres débris rocailleux dont l’espace était chargé. L’idée même de savoir que ce n’était pas nous mais les soleils qui se présentaient à nous, m’apportait une joie immense. Ensuite je suis descendu à la cuisine, rejoindre mon ami Evos. Evos est un jeune troll ayant achevé ses études sur l’Elan de nature. Il a construit sa maison en forêt de façon à pouvoir continuer à apprendre de lui-même « ce qui ne peux être appris que par soi même » comme me le répétait-il si souvent. Je serais incapable d’expliquer ce que cela veux dire mais je suis sur que bientôt les réponses m’apparaitrons. Donc une fois dans la cuisine, j’ai trouvé un mot sur la table me disant que mon petit déjeuner était posé sur le rebord de la fenêtre et qu’une fois fini je pouvais le rejoindre à l’ouest dans la clairière, près du lac, entre parenthèse était écrit : « Tartine d’alioas et chocolat aux épices » Un sourire m’apparue aux coins des lèvres, je ne savais absolument pas ce qu’était l’alioas mais connaissant ça cuisine ça devait sans doute être délicieux. Après avoir dévoré mon petit déjeuner et m’être habillé je partis donc à la clairière. Sur le chemin je m’attardais devant les grands arbres violets, bleus, jaunes, la forêt était multicolore, et touts ces couleurs habituellement tapent à l’œil et agressantes, baignaient dans une obscurité apaisante et harmonieuse, j’aimais cet endroit remplis de couleurs et d’animaux en tout genre. Une fois arrivé dans la clairière je vis mon ami assis sur un ponton de bois, en train de pêcher. Je ne comprenais pas encore comment leurs pouvoirs fonctionnaient mais au premier coup d’œil je compris que le ponton était son œuvre. De temps en temps je lui demandais comment il arrivait à faire cela et à chaque fois il me regardait de ses deux grands yeux oranges et me disait: « Parfois il ne vaut mieux pas comprendre ce que l’on ne connaît pas mon ami, néanmoins si tu veux tout savoir, je me concentre et pense simplement à ce que je veux créer. » Sans suis un long silence durant le-quelles nous sourions, puis nous reprîmes notre conversation. Nous parlâmes de nos mondes respectifs, surtout lui car il y avait peu à dire sur le mien puis nous péchâmes toujours dans cette incroyable harmonie qui règne ici bas. En début de soirée, il m’emmena visiter les alentours, m’expliquant peu à peu le nom des plantes et des animaux, puis une fois 24 heures nous rentrâmes pour manger. Ce soir la j’eu le droit à un soufflé de zephro, c’est un poisson à la chaire très tendre qui vit dans le lac de la clairière, ses écailles sont vertes mais il a des reflets rouges par endroit. Puis nous avons continuâmes notre discussion encore un moment et enfin nous sommes partis nous coucher. Demain il ma promis de me montrer les bases de l’Elan je suis tellement excité que j’ai du mal écrire droit ce journal…
Demain sera une autre aventure, ce monde est magique.
Publié le 22/04/2010 à 14:32 par histoirepourleloup
A quoi bon écrire pour passer sa colère ?
A quoi bon dire au monde ce que l’on ressent ?
A quoi bon espérer ?
Jusqu’ici je n’ai jamais fais que ça et quand j’ai enfin crus arriver à ce que l’on nomme l’amour je me suis ramassé. Aimé est noble mais vain. Faire l’amour est éphémère, la guerre, est éternelle.
Il y à peu j’ai découvert une chose qui aurais dut terriblement me faire souffrir, au mieux de ça j’ai éclaté de rire. La vie est courte, la folie se colle à nous même après la mort, j’en suis une preuve vivante.
Je me fous vraiment d’écrire de belle chose, l’important c’est de se sentir bien ensuite, car oui, au fur et à mesure que mes doigt frôle les touches de mon clavier, je comprends ce qu’est la vie, la mort, l’amoure, le sexe, la guerre.
Incroyable je l’aime toujours, malgré tout cela, je continue à ne pensé qu’à elle. En lisant ça elle se reconnaitra peut être ?
A vrai dire je n’en sais rien, une partie de moi à honte de dire ça l’autre sans fiche royalement. Les autres n’on pas d’importance pour cette partie quand il s’agit d’elle.
Publié le 10/04/2010 à 21:14 par histoirepourleloup
- Il y a longtemps, trop longtemps.
Te souviens-tu de moi ? Je suis toi et tu es moi.
Je suis toi par ce que tu es moi, je suis toi par ce que nous somme nous.
Je suis ce que l’homme s’entête à appeler une ombre.
Je suis toi sans être toi, tu es moi sans être toi.
Chaque personne est unique, nous somme unique, nous somme nous, nous somme lui.
Je suis une ombre mais je ne suis pas ton coté sombre, non ce coté nous en avons chacun une partie.
Tu es un homme et moi je suis une panthère. Les hommes cherchent à refouler ce coter mais à force de le refouler on devient…on devient ce que l’on ne devrait pas être.
Les ombres, comme les humains, sont tous différente et leur but varie selon leurs formes.
Beaucoup recherche la même chose, mais certains non pas les même vocations.
Moi j’accepte cette part de ténèbres qui est en moi et je vie avec.
L’harmonie n’a de sens que si l’on accepte ce qu’est notre esprit.
Deux être en forme un, peut importe la forme que prend ce deuxième être il défini toujours ce que nous somme au final.
Je suis ce deuxième être, je suis toi.
Te souviens-tu de moi ?
-Oui, jamais je ne pourrais t’oublier, jamais je ne pourrais m’oublier.